vendredi 17 octobre 2008

une consommation modérée de vin rouge aiderait à diminuer le risque de cancer du poumon chez les hommes

Les bienfaits du vin rouge sont une fois de plus reconnus dans une nouvelle étude qui cette fois indique que la consommation modérée de vin rouge aiderait à diminuer le risque de cancer du poumon chez les hommes.

«Un antioxydant contenu dans le vin rouge pourrait protéger contre le cancer du poumon, en particulier chez les fumeurs», a déclaré Chun Chao, chercheur au département de recherche et d'évaluation du Kaiser Permanente à Pasadena, en Californie dans un communiqué de l'American Association for Cancer Research (AACR).

Les résultats de l'étude menée par l'équipe du docteur Chao sont publiés dans le numéro d'octobre de Cancer Epidemiology, Biomarkers and Prevention une revue de l'AACR.

Pour mener leur recherche, l'équipe du docteur Chao a analysé des données provenant d'une étude réalisé en Californie (Men s'Health Study) comprenant le profil médical de 84 170 hommes âgés de 45 à 69 ans.

Les chercheurs ont observé qu'en moyenne, le risque de cancer du poumon diminuait de deux pour cent à chaque verre de vin rouge consommé par mois.

Les chercheurs ont tout de même mis en garde ceux-ci en leur rappelant que cesser de fumer est le meilleur moyen de réduire le risque de cancer du poumon.

Par ailleurs, les chercheurs n'ont noté aucune association claire avec le cancer du poumon concernant la consommation de vin blanc, de bière ou d'alcool.

mercredi 8 octobre 2008

le vin rouge réduirait le risque de cancer de poumon chez les hommes

Selon les résultats d'une étude publiés par l'Association américaine pour la recherche sur le Cancer (Cancer Epidemiology, Biomarkers and Prevention) consommer un peu de vin rouge réduirait le risque de cancer de poumon chez les hommes.

Le resvératrol, une molécule présente en abondance dans le vin rouge, aurait une action protectrice contre le cancer, ou un effet antiviral, neuroprotecteur, anti-âge ou encore anti-inflammatoire. Ceci n'a encore été constaté que in vivo sur la souris.

Selon le Docteur Chun Chao chercheur au Kaiser Permanente Department of Research and Evaluation de Pasadena en Californie cela démontre que le resvératrol peut prévenir ou retarder le cancer du poumon, les insuffisances cardiaques et le diabète.

augmentation du risque de cancer lors de l'augmentation de l'Indice de masse corporelle (IMC)

Une augmentation de l'Indice de masse corporelle (IMC) de 5kg/m² pourrait accroître le risque de cancer.

Selon une étude réalisée par les chercheurs de l'Université de Manchester les études prospectives concernant sur plus de 282.000 cas de cancers tentent à démontrer qu’une augmentation de l'Indice de masse corporelle (IMC) de 5kg/m² pourrait accroître le risque de cancer.

L’augmentation de fréquence toucherait surtout l'oesophage, la thyroïde, le colon et le rein chez les hommes et l'endomètre, la vésicule, l'oesophage et le rein chez les femmes.

L'association entre le cancer et l’IMC et cancer est différente suivant le sexe et le groupe ethnique. Le risque d’augmentation de cancer du sein est plus étroitement lié à l'IMC dans la région Asie-Pacifique.

dimanche 5 octobre 2008

la vitamine C réduirait l'efficacité des traitements

Une équipe américaine a étudié sur des cellules et des souris l'effet de la vitamine C sur les médicaments anticancéreux et met en évidence un effet négatif.

Des chercheurs viennent en effet de publier une étude dans Cancer Research, qui montre que les compléments de vitamines C réduiraient l'efficacité thérapeutique des chimiothérapies.

Plus d'infos ...

http://www.lefigaro.fr/sante/2008/10/04/01004-20081004ARTFIG00220-cancer-la-vitamine-c-reduirait-l-efficacite-des-traitements-.php

lundi 15 septembre 2008

la vitamine C en injection intraveineuse réduit les tumeurs cancéreuses des souris !

Une étude réalisée sur des souris montre que des doses intraveineuses de vitamine C pourraient être une solution pour réduire la taille de tumeurs cancéreuses chez les humains.

Cette découverte est encore préliminaire et doit bien entendu être confirmée chez les humains.

Toutefois, même si le traitement fonctionnait en pratique, il ne s'agirait pas d'un traitement unique. Il faudrait dans ce cas associer ce "traitement de choc" avec d'autres médicaments.

La vitamine C'a pendant longtemps été la vitamine la plus respectée et tout le monde sait qu'il faut manger régulièrement des aliments qui en contiennent (kiwi, oranges, etc.).

Contrairement à d'autres vitamines, il n'est pas vraiment possible d'en absorber de trop grandes doses qui seraient alors néfastes pour la santé - risques au minimum de diarrhées sévères - et de plus le corps rejette le surplus non utilisé par le corps.

On a pensé que la vitamine C pourrait aider à la lutte contre le cancer mais encore fallait-il trouver un moyen pour que le corps ne rejette pas ce surplus qui n'entre pas dans les chaînes métaboliques.

Les chercheurs ont trouvé comment court-circuiter cet écueil : injecter directement la vitamine C en intraveineuse!

La vitamine C injectée en intraveineuse produit du peroxyde d'hydrogène H2O2 (eau oxygénée) qui permet ensuite de réduire les tumeurs cancéreuses des souris (cancers ovariens, du pancréas et du cerveau) de 43 à 51 %.

D'après les chercheurs, il est envisageable de «doper» les doses de vitamine C chez l'humain de la même manière mais le traitement n'est pas encore au point.

Il faudra encore de nombreuses études cliniques avant de pouvoir proposer un traitement adapté à l'être humain.